Michael Ferrel (Théâs), 39 ans
Passionné par l’écriture et la création d’univers, j’explore le fantastique, la science-fiction et le récit noir à travers mes histoires.
Sur ce blog, je partage mon parcours d’auteur, mes réflexions sur l’écriture et les coulisses de mes projets.
Bienvenue et bonne lecture !
J’avais envie d’aborder avec la question de Malleus Maleficarum, une fiction qui fait intégralement partie de l’univers d’Echos au point d’en être devenu un élément primordial pour moi.
Pour ceux qui ne connaissent pas, Malleus Maleficarum est un manifeste, un ensemble de traités datant de la fin du XVème siècle et publié dans différentes versions par la suite ; ce livre traitait particulièrement de l’usage, de l’enseignement et de la pratique de la sorcellerie (alors assimilée au Malin) et décrit précisément les signes distinctifs permettant de traqués les sorcières et leurs abominations.
Partant de ce principe et connaissant ma passion pour les histoires basées sur la sorcellerie, je me suis dit que mon monde s’y prêtait bien. D’une part du fait de son côté sombre côtoyant le monde des âmes, des disparus et de la nature profondément noire de l’humanité.
Malleus Maleficarum (du coup j’en ai fait mon titre) suivra les pas de Colline Walden, une orpheline dont le passé a toujours été baigné dans le sang. Elle fuit depuis aussi longtemps qu’elle se souvient ce qu’il la poursuit, la traque et finit par tuer ceux qui l’entoure.
Mais sa rencontre avec Johnatan, un vieil antiquaire de Boston va remettre en question beaucoup de ses principes et l’inciter à enfin faire face à son passé pour enfin comprendre ce qui la hante depuis toujours.
Ce personnage m’a été inspiré (et même si aujourd'hui il n'y a plus grand chose de semblable) par l'image d'un personnage féminin fort de Supernatural (à l’époque où la série ressemblait encore à quelque chose) :
Katie Cassidy (Ruby - Supernatural)
Bon il est évident que je ne vous révèlerais pas ce qui constitue la part assez dense de cette courte fiction (en quelques chapitres) mais je pense qu’il était nécessaire pour moi d’en parler un petit peu, ne serait-ce que pour me le sortir enfin de la tête !
Michael Ferrel (Théâs), 39 ans
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