Bon il fallait bien inaugurer ce petit blog un jour, n’est-ce pas ?
Alors pourquoi évoquer plus précisément les thématiques de cet univers et vous expliquer les raisons pour lesquelles elles me passionnent ?
Commençons par le commencement : Extermination est une histoire reposant sur plusieurs thématiques. D’un côté la spéculation scientifique est une chose qui me passionne au plus haut point : quels seront les défis de la science dans l’avenir ? Quelles seront ses limites, ses dérives ?
Par extension se pose également la question de l’être humain, responsable de cette biotechnologie, quelles seront ses aspirations ? L’éthique sera-t-elle encore un sujet d’actualité, ou au nom d’une science plus libre, la loi permettra-t-elle ces excès ?
Extermination aborde ces points dans un monde ou pouvoir et connaissance se confondent pour ne devenir qu’une seule et même entité.
Ces idées trouvent écho dans la société multinationale « Marakov Global », championne toutes catégories du développement de la technologie et de son influence sur les êtres organiques.
La manipulation génétique est un sujet usité (voir même usé, selon l’utilisation qui en est faite) dans nombre de fictions (littéraires, graphiques, cinématographiques ou télévisuelles) mais je suis persuadé qu’il est encore possible d’en faire quelque chose d’original, de passionnant tant les possibilités sont nombreuses.
C’est ce que je tente de faire avec Extermination en apportant ma réponse toute personnelle à la question qui se pose d’entrer : jusqu’où l’être humain pourra-t-il aller pour déjouer son destin ? que fera-t-il pour outrepasser ce qui lui est possible et des rapprocher de l’entité dénommée Dieu dans ses propres croyances ?
Il y a beaucoup à faire, à comprendre et à écrire sur le sujet qui est important (voir crucial) pour les années à venir.
Extermination c’est aussi la présence de la raison au milieu de la folie, de la précaution dans la prise de risques matérialisées par les personnages censés et doués d’un sens moral certain.
Pour finir je dirais simplement que j’aime l’idée d’un futur où tout se passerait pour le mieux, mais il est certain que l’être humain, dans sa plus grande largeur, ne le vivra pas ainsi.